UNITÉS DE COMPTE (UC) : 6 CHOSES À SAVOIR ABSOLUMENT
Si vous avez une assurance vie ou si vous vous êtes déjà un petit peu intéressé à ce sujet, vous avez déjà entendu cette expression pour le moins étrange “unité de compte” (souvent abrégé UC). Les unités de compte sont tous les supports financiers dans lesquels vous pouvez investir, et qui peuvent évoluer à la hausse ou à la baisse. Au contraire un fonds en euros ne peut pas baisser. En revanche, les unités de compte sont censées être plus performantes sur le long terme.
Je partage avec vous quelques éléments clés afin de bien comprendre ce placement et éviter de faire des erreurs.
Voilà 6 choses très importantes à savoir sur les unités de compte.
Qu’est-ce qu’une unité de compte ?
Définition des unités de compte
Une unité de compte est un instrument financier accessible au travers d’une assurance vie ou un PER, et dont le montant n’est pas garanti par l’assureur. La valeur d’une unité de compte varie en fonction des marchés (financiers, immobiliers, etc.). L’assureur garanti le nombre d’unités de compte, mais pas la valeur.
Une unité de compte peut être un fonds d’actions, un fonds d’obligations, fonds mixte actions/obligation, une action unique, une SCPI, etc. Les possibilités sont infinies.
Exemples d’unité de compte
Par exemple, sur l’excellent contrat d’assurance vie Linxea Avenir dont je parle dans cet article, vous aurez accès à plus de 600 supports d’investissement, que l’on appelle donc Unité de Compte (UC).
Voici quelques exemples :
- Le Tracker Amundi CAC 40 ETF
- Le fonds actif Carmignac Investissement investi en actions internationales
- Le fonds actif JP Morgan Global Income investi en actions et en obligations
- Le certificat Or de BNP Paribas
- La Société Civile Immobilière (SCPI) PFO2 de Perial
Composition des unités de compte
Les unités de compte peuvent être composées d’actifs très différents : actions, obligations, immobilier (grâce aux SCPI, OCPI, et SCI), Or, métaux précieux, entreprises non cotées (private equity), etc. Il n’y a pas vraiment de limite, si ce n’est que les fonds doivent être régulés et ne doivent pas être trop dangereux pour un investisseur particulier.
Quelle différence avec les fonds en euros ?
Lorsque l’on souscrit à une assurance vie, on peut mettre son argent sur deux types de fonds : les fonds en euros et les unités de compte. Les contrats qui permettent d’investir dans ces deux types de fonds sont appelés contrats multisupports.
Les fonds en euros ne peuvent pas baisser
Les fonds en euros sont protégés contre la baisse. Ils rapportent un peu d’argent, mais leur valeur ne peut pas diminuer. Mais attention, leur rendement peut tout de même être inférieur à l’inflation. De plus désormais, certains fonds en euros peuvent avoir une performance négative, du niveau de leur frais. Or les frais des fonds en euros ont souvent des frais entre 0,6% et 0,8% par an. Un fonds en euros pourrait donc avoir une performance de -0,8%, et perdre encore plus en pouvoir d’achat.
Ainsi, les fonds en euros sont très stables et ils sont garantis contre la baisse de leur valeur, mais pas contre la baisse de leur pouvoir d’achat. Placer l’ensemble de son argent dans les fonds en euros n’est donc pas une façon optimale de faire fructifier son capital.
Il existe une grande diversité de rendement des fonds en euros. Le taux de certains fonds en euros peut être réellement très bas. A contrario, on peut encore trouver des fonds en euros performants (au regard du niveau de risque), par exemple :
- Survanir Opportunités a servi un taux de 2% en 2020. Vous pouvez voir mon avis sur le contrat Linxea Avenir, qui propose ce fonds en euros.
- Le fonds en euros du contrat Darjeeling de Placement Direct a des performances qui dépendent du pourcentage d’unités de compte et de l’encours du contrat. On a pu monter à un taux de 2,9% en 2020 !
Une Unité de Compte (UC) peut baisser … mais aussi bien plus augmenter qu’un fonds en euros
Si les unités de compte ne sont pas protégées contre la baisse, on peut espérer un (bien) meilleur rendement sur le long terme. Parlons à la fois du risque et de la performance.
Quels risques pour ses unités de compte ?
Les unités de compte ne sont pas protégées contre la baisse. L’épargnant peut perdre l’ensemble de son capital (mais pas davantage que son capital). Le risque d’une unité de compte dépend très largement du type d’investissement fait dans cette unité de compte.
Les supports d’unité de compte peuvent être très variés : un fonds en actions, un fonds en obligations, un fonds structuré, une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier), parfois même des actions en direct, etc. Il est possible sur pratiquement tous les types de marchés financiers et même le marché immobilier. On appelle ces marchés des classes d’actifs.
On a tendance à dire que le risque d’une UC actions est plus élevé que le risque d’une UC obligations, mais aussi moins rémunérateur.
Le niveau de risque est indiqué dans les documents officiels de description de l’unité de compte et qui sont censés être portés à votre connaissance. Il est important de regarder attentivement le DICI (Document d’Information Clé pour l’investisseur).
Vous voyez ici par exemple le profil de risque d’un tracker World :
Quel rendement espérer pour les unités de compte ?
Le rendement attendu des unités de compte dépend largement de la performance de l’actif suivi (par exemple les actions internationales), du savoir faire du gérant, de la chance (ou de la malchance du gérant) et du niveau de frais.
Par exemple, la performance des actions à long terme a été excellente, malgré les soubresauts récurrents de la bourse. À titre d’exemple, le marché boursier mondial a augmenté de pratiquement 10% par an depuis 1970 (voir mon article sur l’indice boursier MSCI World) ! Cette performance vient d’une part des plus-values, et d’autre part du rendement, c’est-à-dire des dividendes.
Les unités de compte sont donc des supports d’investissement risqués, car il n’y a pas de garantie en capital. Cependant, elles peuvent avoir une excellente performance sur le long terme. La plus value que vous pouvez réaliser dépendra à la fois de la performance des marchés suivis (actions, obligations, immobilier, etc.), mais aussi de la performance du fonds.
L’intérêt des Unités de Compte est de deux ordres :
- Vous pouvez potentiellement avoir une plus grande performance sur le long terme. C’est vrai si vous investissez dans une unité de compte en actions. Mais ce sera probablement nettement moins vrai si vous investissez dans des unités de compte en obligation. En effet, les fonds en euros sont déjà largement composés d’obligations.
- Vous pouvez diversifier votre épargne en actions, immobilier, or, etc.
Les Unités de Compte ne vous appartiennent pas
Une assurance vie reste une assurance : une unité de compte ne vous appartient pas vraiment
Lorsque l’on achète un fonds (que l’on peut trouver sous différentes appellations : OPCVM, FCP, SICAV, ETF …) sur un compte titre, que ce soit le CTO ou le PEA : on le possède, on devient actionnaire du fonds. Mais cela ne se passe pas exactement comme ça pour les Unités de Compte.
Une assurance vie peut être utilisée comme un placement financier, cependant cela reste une assurance. La société d’assurance a une créance envers vous, elle vous doit de l’argent en cas de “sinistre”. Cela peut paraître un peu alambiqué, mais une assurance vie, lorsque vous retirez vos fonds, vous doit de l’argent “en cas de vie”. C’est donc la société d’assurance qui possède les fonds.
Cela entraîne des questions sur la liquidité et la disponibilité de votre épargne
Certains pourront considérer que cela est problématique … Notamment si la société d’assurance fait faillite (ou tout simplement a des problèmes d’argent) ! Cependant, les sociétés d’assurance (AXA, Generali, etc.) ont peu de chance de faire faillite. Par ailleurs, elles seraient probablement sauvées par l’état si cela devait arriver.
Il existe aussi un fonds de garantie, qui vous rembourse jusqu’à 70 000 euros par contrat ! Mais ce n’est pas certain qu’il faille compter là-dessus, si l’État venait à laisser AXA, le Crédit Agricole ou autre Société Générale faire faillite !
Cela vaut aussi bien pour les Unités de Compte que pour les fonds en euros.
Les épargnants ne sont pas fans des unités de compte, cependant c’est en train de changer
80% de l’assurance vie est en fonds en euros
Les Français ne sont pas des grands fans des unités de compte. Cela leur paraît à la fois trop compliqué et trop risqué. Par ailleurs, je pense que pour un courtier en assurance vie, il est nettement plus simple de vendre des fonds en euros (même si cela ne va pas nécessairement dans l’intérêt de la société d’assurance).
Au final sur les 1700 milliards de l’assurance vie, 80% sont en fonds en euros. Cependant, on parle ici de stock et non de flux. 30% des nouveaux versements sont en Unités de Compte. C’est tout de même pas mal.
D’ailleurs si vous voulez briller dans les dîners en ville, sachez qu’il existe 54 millions de contrats d’assurance vie et 38 millions de bénéficiaires. C’est assez énorme en rapport à la population française (adulte).
Les raisons de l’intérêt grandissant des épargnants pour les UC
Il existe deux raisons principales du développement des Unités de Compte :
- Le rendement des fonds en euros baisse régulièrement, les épargnants vont donc chercher de la performance ailleurs.
- Les assureurs ont intérêt à promouvoir les Unités de Compte, car c’est très complexe pour eux de garantir une performance supérieure à 0% pour les fonds en euros (sachant que les obligations qui composent les fonds en euros peuvent baisser).
Attention aux frais des Unités de Compte : ils peuvent réduire la performance à néant !
3% de frais totaux … si l’on s’y prend mal !
Cependant, certaines unités de compte peuvent avoir des frais énormes qui grèvent la performance.
Good value for money a analysé « plus de 4 000 supports » pour cette étude. Bilan : 2,10% de frais de gestion internes en moyenne. Soit « 3% au global » avec les frais perçus par l’assureur sur les supports UC. C’est vraiment très très difficile d’avoir une performance correcte lorsque l’on a 3% de frais !
Voyez le graphique ci-dessous : les frais de gestions comprennent des frais fixes et différentes commissions variables. Le total correspond aux frais courants, en rouge. Ce sont les chiffres à regarder. Les frais de gestion courants peuvent atteindre 3% par an sur les actions européennes.
Les Unités de Compte : une performance qui n’est pas toujours au rendez-vous, sans réduire les risques
J’ai utilisé le site Quantalys pour comparer depuis 2006 la performance et le risque :
- D’un bon fonds en euros (en l’occurrence celui de l’Afer, parce qu’il permet de remonter loin dans l’historique). La ligne bleue.
- D’un indice synthétique actions mondiales et obligations internationales à 50%/50% (j’aurais préféré un indice obligations de la zone euro, mais ce n’est pas disponible sur Quantalys). La courbe verte.
- La moyenne des fonds patrimoniaux dits équilibrés. C’est-à-dire des Unités de Compte qui disent mixer au mieux performance et risque. Ils sont très souvent poussés par les conseillers bancaires ou en gestion de patrimoine, car ils permettent d’arriver à un risque équilibré et on se dit que le gérant pourra avantageusement adapter l’allocation entre les actions et les obligations (c’est loin d’être évident). La courbe orange.
Que peut-on observer ?
- Les fonds actifs patrimoniaux ont eu une performance inférieure (2,58% par an) à celle d’un bon fonds en euros (3,33%) avec un risque nettement plus élevé. Par ailleurs, ces chiffres sont net de frais de gestion de l’enveloppe assurance vie pour les fonds en euros, mais pas pour les fonds en unité de compte, il faut donc enlever encore 1 point de performance. On arrive alors à une performance de 1,58% par an !
- L’allocation indicielle performe extrêmement bien malgré la crise de 2008 et la crise de l’euro de 2010-2011 (l’indice actions de la zone euro a perdu 17% en 2011). La performance a tout de même été de 6,03% par an, alors que le risque a été contenu (volatilité de 8,93%).
Les meilleures assurances vie proposent des Unités de Compte en ETF et des frais contenus
Les meilleures assurances vie, proposent des ETF qui suivent des indices pour un très faible coût ! En effet, il est aisé de trouver des ETF avec des frais de 0,2% par an, soit 10 fois moins qu’une Unité de Compte traditionnelle. Cela augmente largement la performance.
Il a été largement prouvé que la gestion passive, réalisée au travers de fonds indiciels tels que les ETF, a été largement plus performante que les fonds en gestion active. Il est donc plus que raisonnable de privilégier ce type de placement.
Good Value for Money a aussi mené l’étude sur les Unités de Compte en ETF (aussi appelés trackers). Comme vous pouvez le voir sur ce graphique les frais des ETF sont contenus autour de 0,3% par an. Les frais annuels peuvent même descendre à 0,07% pour les trackers investis en Amérique du Nord.
Les meilleures assurances vie n’ont pas de frais d’entrée, et ont des frais de gestion contenus (0,6% voire même 0,5% par an) ! Cela augmente aussi la performance.
J’apprécie notamment les assurances vie de Placement Direct et de Linxea, mais vous pouvez aller voir mon article sur les meilleures assurances vie.
Conclusion : les Unités de Compte, une bonne idée ?
L’assurance vie est peut-être le placement préféré des Français, après les livrets réglementés (Livret A, LDDS, etc.). Compléter le fonds en euros par des unités de compte suivant différentes classes d’actifs (actions, obligations, immobilier, etc.) peut être une bonne idée sous plusieurs conditions :
- L’assurance vie a des frais contenus
- L’assurance vie propose des unités de compte en gestion passive, typiquement des ETF
- Vous avez un profil de risque adapté, car vous avez un horizon de temps long et vous êtes tolérant au risque
- Vous savez ce que vous faites
Il faut savoir aussi que l’assurance vie est un investissement très pratique, car dans les meilleurs contrats multisupports vous avez des options de gestion très intéressantes qui vous permettent, par exemple, d’investissement mensuellement de manière automatique (vous pouvez acheter des parts d’unités de compte sur une assurance vie contrairement à la plupart des comptes titres) et il y a des options de rééquilibrage du portefeuille.
Le PEA a nettement moins de frais, il est donc intéressant de compléter avec cette enveloppe fiscale pour vos placements dans de nombreux cas. Il est même possible d’y loger des ETF suivant des indices non européens. Il est souvent utile d’ouvrir à la fois un PEA (voyez mon comparatif des meilleurs PEA) et plusieurs bons contrats d’assurance vie.
J’ai déjà cité Linxea Avenir comme excellent contrat, mais je pourrais aussi citer Darjeeling de Placement Direct. Le fonds en euros est très largement boosté lorsque vous investissez en unités de compte. Par exemple, en 2020, on a pu monter jusqu’à 2,9% ! N’hésitez à demander une documentation en suivant ce lien.
Sur ce, je vous souhaite le meilleur pour votre épargne … et surtout pour tout le reste.
Merci pour ces informations claires et pour une définition des UC qui se distingue des autres. La plupart des sites reprennent (voire copient / collent) wikipédia !!
Bonjour,
Je ne sais si vous me répondrais, voilà la banque postale m’a fait investir par le biais d’une assurance vie des UC. Le conseiller a arbitré une partie des UC car la valeur me faisait récupérer mon capital de départ, le problème est que j’ai perdu de l’argent au final. L’assurance qui s’est occupé de la transaction a arbitré en différé. Ce conseillé étant absent je ne peux revoir la question avec lui. M’ayant garantie verbalement que je récupérais le capital investi. Pourquoi le conseiller ne savait il pas le jour de l’arbitrage qu’il y avait 4 jours ouvrés entre la signature et le réel arbitrage. La valeur n’est pas la même et dans mon cas en moins value.
Comment s’avoir si la valeur correspond à l’arbitrage que nous souhaitons..?
Merci pour votre réponse.
Bonjour Evrard. Afin de maintenir le niveau du site, il serait souhaitable que vous vous relisiez avant d´écrire un commentaire. Ça ressemble à un commentaire écrit par un enfant de 5 ans.
Bonjour,
beaucoup d’assurances vie imposent d’avoir un certain % d’UC. Est-ce qu’il est judicieux d’investir dans un ETF obligataire pour la partie UC et un fond euro pour le reste ? Sachant que les ETF d’actions seraient sur le PEA. Il serait ainsi plus aisé de rééquilibrer le portefeuille pour viser son allocation cible. Qu’en pensez-vous ?
Bonjour Edouard,
Donc au final, quelle est la meilleur formule pour du 40% Fond EUR / 60% Actions ?
– AV Fond EUR + PEA ETF
– AV Boursorama ou Fortuneo
– AV Nalo
Je n’arrive pas a trancher. Merci.
Bonjour Benoît, il n’y a pas de meilleur, chacun a des avantages et des inconvénients ; et cela dépend de ce que vous mettez à l’intérieur de ces enveloppes
Bonjour,
Comment savoir si les unités de comptes investies sont dans une démarche éthique (respect droits humains, environnementaux…)?
Bien à vous
Bonjour Benjamin. Morningstar ou Trackinsight donnent des informations. Mais sur ce sujet j’ai fait un gros focus dans la formation. Jetez y un œil…
Bonjour Edouard,
Je suis novice en bourse (j”ai néanmoins investi dans l’immobilier) J’ai acheté vos 2 livres que je viens de finir de lire.
C’est assez costaud je peux dire. J’ai assimilé les grandes lignes. Avant d’aller plus loins et prendre la formation j’aimerai un avis de votre part sur quelque chose qui me bloque :
1. Comment sécuriser la partie etf du portefeuille dans le cas d’un crash ?
vous préconisez l’assurance vie en euros mais cela ne rapporte plus (cela ne va pas monter tout seul lors d’un crash), les investisseurs ne vont pas se ruer vers les obligations US, chute du dollar. (donc prendre un ETF TLT ne couvrira pas )? faut-il faire un sp500 inversé ? … bref c’est cette question qui me bloque pour investir dans la méthode lazy.
Cordialement
Bonjour Eric,
Oui “Créer et Piloter un portefeuille d’ETF” est assez costaud. La formation prend beaucoup plus par la main.
J’ai écrit un article sur la gestion des krachs.
Les fonds en euros n’ont pas pour premier objectif de donner de la performance, c’est ça qu’il est vraiment important de comprendre.
Bonjour,
cet article met bien en perspective le problème des assureurs (vie) : l’assurance vie bénéficie d’une réputation de bon père de famille historiquement grâce à ses fonds euros mais d’un autre côté ils ne veulent plus vendre de fonds euros…
Edouard montre bien qu’il n’y a pas vraiment d’intérêt à utiliser des UC (actions en tous cas) dans une assurance vie et qu’il
vaut mieux utiliser le PEA.
Au final, les assureurs vont avoir de plus en plus de mal à dénigrer le PEA, ce qu’ils font allègrement jusqu’à présent (dans mon expérience personnelle au moins).
Il pourrait quand même y avoir match : le choix des ETF dans les PEA reste quand même assez limité (et ils sont assez chers). On a l’impression que les assureurs ont quand même plus de latitudes.
Bonjour, merci pour toutes ces formations très enrichissantes.
Savez vous pour quelles raisons les ETF NDX-100 Luxor ou Amundi ne seront bientôt plus disponible fin juillet dans le PEA svp?
Bonjour Henry. J’ai fait un article spécifiquement sur ce sujet.
Bonjour M. PETIT,
Je tenais tout d’abord à vous féliciter pour vos articles et vos publications (que j’ai dévorées) Grâce à vous beaucoup de choses me sont parues bien plus claires dans mes investissements.
J’aurais un conseil à vous demander, j’envisage d’investir 25% de mon patrimoine financier en ETF. Je souhaite utiliser l’enveloppe de l’assurance vie (Linxea Avenir) Cependant, je trouve les cours actuels très hauts et je pense étaler mes versements sur 5 ans en y versant tous les mois 40% en ETF et 60% en fonds euros (celui à 2’8%)
Que pensez-vous de cette stratégie ? 5 ans pour atteindre l’objectif de mon allocation n’est-ce pas trop long ?
Bonjour, merci beaucoup pour votre message. Si vous partez de 0% en actions il faut vraiment prendre du temps (quelle que soit la valorisation des marchés)